Conseil régional de l’environnement de Montréal, le 13 janvier 2016

On m’a récemment invité à participer au début d’un processus de planification stratégique pour la période 2016-2020 d’un important groupe environnemental, avec le mandat de sortir les administrateurs de leur zone de confort. J’ai décidé de faire une présentation en trois étapes. Tout d’abord, j’ai présenté une série de diapositives montrant différents aspects des crises contemporaines, des constats dont les administrateurs sont en grande partie au courant, dont j’étais au courant en commençant mon mandat comme Commissaire au développement durable et Vérificateur général adjoint en 2007-2008.

Une deuxième partie de ma présentation cherchait à fournir quelques pistes pour une planification qui sortirait justement des zones de confort, qui comporteraient de nouvelles orientations. Comme plusieurs ont soulignés lors de l’échange qui a suivi, confronter un ensemble de comportements dans les pays riches qui sont liés aux causes de l’effondrement qui s’annonce passe proche d’être suicidaire pour n’importe quel groupe.

La deuxième moitié de la présentation PowerPoint, non couverte lors de la rencontre, porte sur certains éléments de ce qui est en cause lorsque nous parlons de résiliance, approche qui me paraît fondementale dans l’effort de chercher les grandes lignes du modèle qu’il faut essayer de concevoir et de mettre en branle.

 

 

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